SITUATION EXCEPTIONNELLE, MESURES EXCEPTIONNELLES. Voilà comment le FMI à donner titre a son rapport annuel 2020, ou le FMI rappelle qu’il aide ses pays membres à protéger leur population, préserver l’économie mondiale et amorcer une reprise qui profitera à tous.
C’est vrai que au début de la pandémie, les chefs d’Etat faisaient encore confiance à la science et à la médecine pour trouver un remède aussi rapide que le monde digital où nous vivons. Après plusieurs mois passées, avec le nombre croissant des personnes impactées et des morts cumulés, le sérieux et l’urgence se sont accaparés des politiciens et des preneurs de décisions.
Certains pays se sont cachés derrière un jeu de blâme envers la Chine, sachant que cela ne changerait pas la réalité. D’autres, ont fait preuve d’une réelle agilité dès le tout début de la crise, notamment ceux dirigés par des femmes leaders.
La pandémie a également impacté l’écosystème et a démontré que la mobilisation contre le changement climatique reste toujours une priorité. le monde a besoin d’un changement fondamental profond, moins en termes géostratégique, mais plus civilisationnel, pour sauver l’humanité et la planète.
Dans un contexte national, l’Algerie qui retrouvait graduellement sa sérénité après une année de turbulences politiques, sociales et économiques ; la Pandémie du COVID19 s’est abattue sur l’Algérie pour perturber cette période de stabilisation, cette pandémie a été une véritable épreuve pour le nouveau président, et le gouvernement fraichement installé. Mais aussi pour tout l’écosystème national avec l’ensemble des parties prenantes : collectivités, société civile, partis politiques et populations.